Décryptons en premier lieu le mot Ikigai pour comprendre ses racines et son fondement. Iki signifie « vie » ou « être en vie » et kai (prononcé gai) « ce qui vaut la peine et a de la valeur ». Littéralement, on pourrait le traduire par « ce pour quoi la vie mérite d’être vécue » ou « raison d’être ».
L’Ikigai est évolutif, et selon les japonais, il est fondamental de rester en harmonie avec celui-ci à chaque étape de sa vie. Plus nous nous nous synchronisons à notre Ikigai plus nous aurons la sensation que notre vie a un sens. À défaut, nous aurons l’impression d’avoir laissé aux autres, aux circonstances, le contrôle de notre quotidien.
La méthode Ikigai est une réelle philosophie de vie qui explique en partie l’exceptionnelle longévité des habitants de l’île d’Okinawa (en réalité un archipel japonais) qui concentre le plus de centenaires autonomes et actifs sur la planète.
De nombreuses études révèlent que le secret de cette longévité réside dans des habitudes d’alimentation saines (prendre au moins ½ h pour manger et ne remplir son estomac qu’à 80 %), une activité physique quotidienne, une forte connexion avec la nature, la communauté, ainsi qu’une grande gratitude envers les ancêtres.
Le secret de leur sourire, quant à lui, réside dans l’Ikigai. Les habitants d’Okinawa cherchent à donner du sens à leur vie et à rester indépendants tout en s’investissant dans la communauté. L’Ikigai de chacun sert non seulement à l’accomplissement personnel mais contribue à la société, créant ainsi un sens plus profond.
Si la méthode Ikigai permet d’identifier sa raison d’être, ramené à la sphère professionnelle, elle est un formidable outil pour révéler quel est le métier ou la mission qui pourrait nous permettre l’épanouissement le plus total.
Une réflexion d’autant plus légitime à l’heure où nous souhaitons un travail qui ait du sens, qui permette de nous réaliser et d’exprimer notre singularité.
Chercher son Ikigai c’est, pour en arriver à la méthode, trouver le juste équilibre entre ce qu’on aime faire, ce pour quoi nous sommes doué, ce dont le monde a besoin et ce pour quoi on pourrait recevoir une rétribution financière.
Trouver ce point d’équilibre s’est faire de son travail un prolongement de soi, une zone d’épanouissement et d’expression qui créent une harmonie non pas seulement pour soi mais pour la communauté, offrant ainsi notre talent aux autres.
Si ces notions vous intéressent et que vous voulez faire cette réflexion pour vous, nous les abordons dans les parcours de coaching que je propose.
C’est faisant l’exercice de l’Ikigai en 2018 et croisant ce que j’aimais, ce que je savais faire, ce qui avait un sens pour la société et ce qui me semblait potentiellement « rémunérateur » que j’ai réalisé que je voulais être Coach, accompagner et guider autrui vers la réalisation de soi et l’expression de son talent.
Si vous voulez-en savoir plus, contactez-moi !
Je voudrais aborder un sujet qui m’a fasciné quand je l’ai découvert et qui mérite, selon moi, d’une part d’être manié avec beaucoup de précaution, d’autre part d’en comprendre les grands principes utiles à notre réalisation personnelle et à la base de certains outils de coaching.
Ce sujet est la loi de l’attraction ou pouvoir de l’intention, loi selon laquelle nos attitudes et nos pensées – dont la vibration aurait la capacité d’agir sur notre environnement – attirent à nous en permanence, que nous en soyons conscients ou non, les gens et les expériences qui reflètent notre état d’esprit.
La loi de l’attraction est issue du courant américain dit de la « Nouvelle pensée » né au début du 19e siècle. La loi de l’Attraction est la croyance qu’en se concentrant sur des pensées positives nous apportons des expériences positives dans nos vies. Cette croyance est fondée sur l’idée que les personnes et leurs pensées sont à la fois de la « pure énergie », et que, par le processus de « l’énergie attire une énergie semblable », une personne peut améliorer sa propre santé, sa richesse, et ses relations personnelles. La Loi de l’Attraction n’a aucun fondement scientifique, est parfois poussée dans ses aspects les plus extrêmes, et est pour cela très souvent malmenée.
Toutefois, j’y vois, au-delà de quelques-uns de ces principes que j’évoquerais ci-dessous, une ode à une parole fondamentale : L’intention !
L’intention, du latin intentio est l’action de tendre l’esprit, un mouvement de l’âme par lequel on tend à quelque fin. L’intention serait donc le mouvement vers un but, vers un dessein clairement affirmé.
Elle est pour les adeptes de la loi de l’attraction, et je citerais ici Dr Wayne Dyer, l’un des maîtres sur les sujets, une force à l’œuvre dans l’univers, un champ d’énergie invisible que nous portons tous en nous.
Pour activer le pouvoir de l’intention, le secret serait de rester intimement en contact avec son moi naturel, sa vérité et cesser de s’identifier à son ego.
Afin de mieux comprendre comment générer cet état intérieur voici quelques-unes des règles d’or mentionnées par Dr Wayne Dyer.
On obtient ce qu’on a l’intention de créer en étant en harmonie avec le pouvoir de l’intention. Pour cela, il nous faut devenir à l’image de l’intention dont voici les 7 visages :
Seule l’énergie créatrice peut faire passer le néant à l’être. Pour nous mettre dans cette position de créateur, nous devons générer le vide, méditer, pour puiser en nous l’image et l’énergie nécessaires à la manifestation concrète de nos désirs.
L’intention est une énergie bienveillante qui veut que ses créations prospèrent et s’épanouissent dans la joie et le bonheur. Cette bonté doit être dirigée envers nous-même, envers les autres et envers la vie en général (notre environnement, la vie sur terre, les animaux, la nature).
Le champ d’énergie de l’intention est un pur amour ouvrant sur un environnement nourrissant et totalement coopératif. L’auteur propose de penser à l’amour des deux façons suivantes : L’amour est coopération plutôt que compétition ; l’amour est la force qui se cache derrière la volonté de Dieu (la vibration spirituelle qui fait passer les intentions divines à concrètes)
Une expression créatrice, bonne et aimante, ne peut qu’être belle. En fait, le visage de la beauté est toujours présent, même là où les gens ne le voient pas. Nous devons rechercher et faire l’expérience de la beauté dans tout ce que l’on entreprend. D’ailleurs, vie, vérité et beauté sont tous des symboles d’une même chose.
La force universelle d’où toute chose émerge, qui se trouve au commencement de toute vie, est perpétuellement en expansion et toujours en train de croître. Pour comprendre cet aspect de l’intention, on peut penser à un minuscule point qui se reproduit lui-même sans arrêt, qui devient de plus en plus gros, puis se met en marche, tout en continuant à prendre de l’expansion et à s’exprimer.
Nous sommes issus d’une conscience illimitée. Il n’existe aucune frontière. Cette réalité est partout en même temps et d’une abondance sans fin. Il n’y a, en fait, aucune limite à notre potentiel.
En demeurant en contact avec l’esprit universel, nous recevrons tout ce dont ce pouvoir est capable. Rien ni personne, n’est rejeté par le visage réceptif de l’intention. En effet, l’intention accueille tous les êtres vivants, sans porter de jugement, sans jamais accorder plus de pouvoir à certains qu’à d’autres.
Dr Wayne Dyer souligne toutefois que trois aspects de notre vie peuvent nous empêcher de prendre contact avec le pouvoir de l’intention : notre discours intérieur, notre niveau d’énergie et notre suffisance.
Dr Wayne Dyer nous liste quatre façons de penser qui peuvent nous empêcher d’atteindre et de prendre contact avec le pouvoir de l’intention :
Il nous faut alors veiller à exprimer non pas “ce qui manque dans sa vie” mais “ce qu’on a l’intention de rendre manifeste et d’attirer dans sa vie”.
Nous devons apprendre à notre imagination à se détourner de ce que nous ne voulons pas pour se concentrer sur ce que nous voulons. Prendre l’habitude de penser en commençant par la fin.
Lorsque notre discours intérieur se concentre sur la façon dont les choses ont toujours été, nous agissons conformément à ces pensées. Le pouvoir de l’intention continue donc de produire ce qui a toujours été.
Il est primordial de faire preuve d’une foi inébranlable et de ne plus penser à la façon dont les autres voudraient que nous vivions notre vie.
Nous sommes un système énergétique. Plus notre énergie est élevée, plus nous sommes en mesure de neutraliser et de convertir les énergies inférieures qui nous affaiblissent, et d’influencer positivement tous ceux qui vivent dans notre entourage immédiat et même plus lointain. Dès lors, l’objectif est de nous accorder avec la plus haute de toutes les fréquences.
Voici les conseils du Dr Wayne Dyer pour augmenter son niveau d’énergie
Il est essentiel d’avoir une bonne image de nous-même et l’impression d’être unique. Néanmoins, cela devient problématique lorsqu’on s’identifie à notre corps, à notre succès et à notre profession.
Dr Wayne Dyer propose sept étapes pour se défaire de l’emprise de notre ego :
De façon plus concrète, mon rôle en tant que coach est de vous aider à révéler vos désirs profonds, les exprimer en intentions et de vous guider vers leurs réalisations.
Les outils de projection, de visualisation que suggère la loi de l’attraction peuvent véritablement soutenir vos projets, et les principes mentionnés plus haut peuvent faire partie des ressources qui pourront vous aider à leur réalisation.
Si vous voulez vous aussi donner du pouvoir à vos intentions, donner vie à tout ce qui vous définit et fait votre singularité, je serai heureuse de vous y aider. Vous trouverez ici toutes les formules envisageables et nous pouvons en parlez ensemble.
Un documentaire passionnant !
Pour finir je vous conseille cette pépite !
La communication non violente (appelée aussi CNV) s’attache à instaurer entre les êtres humains, des relations fondées sur une coopération harmonieuse et authentique, sur le respect de soi et des autres. C’est un outil de communication verbale recommandé pour la résolution de conflits et pour une meilleure relation à soi. Elle encourage à se relier à ses besoins et émotions et à prendre conscience des peurs, des jugements et des interprétations qui nuisent aux relations.
Développée aux États-Unis dans les années 60, par le docteur Marshall Rosenberg, la CNV s’inspire fortement des travaux de Carl Rogers (1902-1987), dont il a été l’élève. Sur les traces de Gandhi, ce nouveau porte-parole de la non-violence aura l’occasion de tester l’efficacité de sa méthode auprès de diverses communautés américaines (école, institutions publiques) en prise aux conflits raciaux et socio-économiques de l’époque. Le succès qu’il rencontre l’amènera alors à créer le Center for Non-Violent Communication à Sherman (Texas).
Il s’agit d’un outil de communication, principalement verbal, qui vise à transformer les conflits en de simples dialogues.
Très souvent les conflits naissent d’émotions négatives que nous ressentons et dont nous identifions la cause à l’extérieur de nous. On donne la responsabilité de notre mal-être aux circonstances et à nos interlocuteurs.
Or, selon la CNV, la mécanique est la suivante : la cause de nos émotions ne réside pas dans la situation observée ni dans le comportement de l’autre, mais dans les besoins que nous avons à l’intérieur de nous.
Si nos besoins ne sont pas satisfaits nous générons des émotions négatives, identifions un coupable et préparons ainsi les ingrédients du conflit.
Par conséquent le principe de résolution des conflits reviendrait à identifier précisément les faits et l’élément déclencheur du conflit, à identifier nos émotions et comprendre quel est le besoin sous-jacent insatisfait. A cette étape, il est alors possible de formuler une demande pour obtenir satisfaction.
En pratique, la méthodologie de la communication non violente proposée par Marshall B. Rosenberg dans « Les mots sont des fenêtres » est la suivante :
La première étape de la CNV est l’observation. Il est essentiel de revenir à la situation objective, dénuée de tout jugement, analyse ou interprétation : que s’est-il objectivement passé ? Quel est l’élément déclencheur qui a provoqué la tension dans la relation ?
La seconde étape consiste à identifier les émotions que cette situation objective provoque en moi. Marshall Rosenberg a dressé une liste de plus de 200 sentiments et émotions (« positifs » et « négatifs ») pouvant être évoqués à cette étape du processus.
La troisième étape consiste à repérer les besoins qui se cachent derrière ces émotions : quels sont les besoins fondamentaux que j’ai en moi et qui, parce que satisfaits ou insatisfaits, ont provoqué cette réaction émotionnelle ?
Prenons un exemple : nous avons un rendez-vous avec un ami à 20h. Il arrive à 20h30 sans avoir prévenu de son retard. Nous ressentons une grande colère et l’accusons pour son retard.
Dans ce cas il s’agira de dire OK je ressens de la colère (je cite cette émotion par simplicité ; c’est encore mieux si vous êtes capables d’affiner l’émotion ressentie). Or cette colère n’est pas liée directement au retard de mon ami ou au fait qu’il n’est pas prévenu, mais à la pensée que je me suis pressée pour arriver à l’heure, que j’aurai eu le temps de faire autre chose et que je considère que ma liberté individuelle n’a pas été respectée. Mon ami n’est donc pas la cause de ma colère. Ce sont mes pensées à propos de l’évènement qui le sont. En l’occurrence la pensée que ma liberté individuelle est précieuse et que je voudrais qu’elle soit respectée.
A ce stade, qui constitue la quatrième étape de la communication non violente, nous avons alors tous les éléments pour pouvoir formuler une demande claire et concrète pour que nos besoins soient satisfaits.
Pour bien formuler cette demande et se donner la chance de pacifier la relation et ressentir de la satisfaction, quelques éléments doivent être réunis :
Il est important d’être ouvert à un éventuel refus : une relation basée sur l’empathie et le respect mutuel implique de laisser à l’autre la liberté d’accepter ou de refuser la solution proposée.
Si notre demande est rejetée, il conviendra alors de questionner l’autre pour préciser ses besoins et parvenir, au final, à une solution créative qui lui convient aussi.
Dans le processus de la CNV, la méthode décrite ci-dessus (observation – sentiments- besoins- demande) s’applique non seulement envers soi-même, mais également à l’égard de l’autre.
Dans une situation de conflit, on a tendance à croire que les actes des autres sont forcément dirigés contre nous. Or le mécanisme généré de l’autre côté de la relation est parfaitement identique.
Face à la situation, l’autre personne a eu un comportement lié directement aux émotions qu’elle a ressenties en fonction du fait que ses besoins étaient ou non satisfaits. Lorsque la personne est entrée en conflit avec nous, sa priorité n’était pas de nous dire non et de s’opposer à notre point de vue, mais de dire oui à ses propres besoins, qui dans le cas d’un conflit ou d’une tension n’étaient pas alignés avec les nôtres.
Communiquer avec l’autre au niveau des besoins réduit quasi-automatiquement l’intensité du conflit et permet d’apaiser la situation.
J’avais plaisir à vous parler de la Communication Non-violente car elle a contribué à m’éclairer sur la qualité de nos relations et sur notre responsabilité face aux événements et à nos émotions. C’est une méthode simple d’application qui nous permet d’être davantage connecté à nous-même, plus conscient et qui apaise et simplifie nos relations avec autrui. C’est un sujet que je vous propose d’aborder lors de sessions de coaching individuel si vous considérez des dynamiques relationnelles, ou un éventuel conflit, comme des freins à votre épanouissement ou simplement si vous devez exprimer un besoin et formuler une demande pour atteindre votre objectif.
Ces moments où l’on est complètement absorbé par une activité et où tout se déroule agréablement correspondent à un état de flow (« flux » en français).
Identifié par le psychologue hongrois Mihaly Csikszentmihalyi en 1975, l’état de flow correspond à une expérience optimale qui apporte bonheur et épanouissement personnel.
Il définit celui-ci comme un état psychique, très agréable, dans lequel on se trouve lorsqu’on est fortement engagé dans une activité parce qu’elle nous intéresse en tant que telle, et non pour atteindre un objectif.
Mihály Csíkszentmihályi définit 7 conditions pour être dans le flow :
Ordinairement, notre attention est partagée : on peut faire quelque chose et être présent également à ce qui se passe autour de nous. Dans le flow, notre attention est comme fondue dans l’action. Une hyper-concentration qui fait qu’on se sent bien et qu’on est capable d’être beaucoup plus efficace.
Une des conséquences de cette concentration est qu’elle nous rend inconscient des problèmes de la vie quotidienne qui sont effacés temporairement de notre attention. Ce soulagement est une source de bien-être considérable, une forme d’évasion constructive plus exaltante que la réalité.
Lorsque l’on est dans le flow, on sait très clairement ce qu’on doit faire pour atteindre le but qu’on s’est donné. Les règles du jeu sont faciles à discerner et cohérentes. Être dans le flow, c’est aussi recevoir des feedbacks pour savoir à chaque moment si ce qu’on fait nous rapproche ou nous éloigne de l’objectif qu’on s’est fixé.
Pour que l’activité soit plaisante, il est important que ce qu’on doit faire soit en équilibre avec ce qu’on est capable de faire. Dans le cadre d’une activité professionnelle, si on est sous-qualifié pour la tâche à exécuter on se sentira probablement stressé; tandis que si on est sur-qualifié, on risque de s’ennuyer et de ne pas se sentir stimulé.
Lorsqu’on est dans une situation de concentration optimale où on doit utiliser toutes nos compétences pour atteindre un objectif, on observe également une perte de conscience de soi. Le sentiment d’égo défensif qu’on a parfois dans la vie quotidienne disparaît et génère sérénité et calme intérieur.
Enfin, on note que le flow modifie notre perception du temps. Habituellement, le temps est une contrainte où on doit ranger nos moments de vie. Dans le flow, le temps s’adapte à l’expérience, il peut passer comme un éclair, ou bien durer tellement il est bon et extasiant.
Le flow est une démarche de quête de soi, qui peut aller jusqu’à un sentiment de transcendance. Pour se sentir motivé au travail, il est nécessaire que les valeurs auxquelles nous adhérons et les taches réalisées soient en adéquation. Il faut choisir une profession qui correspond à nos attentes profondes.
Lorsque l’on est en état de flow, le cerveau libère plusieurs hormones qui augmentent notamment notre capacité de rétention d’information, notre vitesse de traitement, notre motivation et nos capacités d’adaptation et de créativité.
Le flow a un impact important sur le bien-être et le bonheur, la concentration, l’estime de soi, la créativité et la performance.
J’en parle très souvent dans les parcours de coaching que je vous propose, notamment dans les réflexions de reconversion professionnelle et d’orientation car c’est dans le Flow que nous trouvons notre raison d’être.
Flow est un magazine hollandais qui célèbre, la création, l’aspiration et l’inspiration. Il invite à ralentir et à réfléchir à des sujets variés. Véritable ode au papier et à l’illustration, c’est un véritable objet avec une forte personnalité iconographique pleine de poésie.
Il existe en différentes langues, je suis abonnée à la version française que je reçois chez moi à Bologne. Ce magazine est une expérience en soi et porte très bien son nom puisqu’il inspire, stimule et fait oublier le temps !
MES MOMENTS DE FLOW
A la lumière des nombreux bénéfices qu’il génère, il est important d’identifier les activités qui nous permettent d’entrer dans un état de flow. Ainsi repérées, nous pouvons les répéter, leur donner plus d’importance dans nos vies et contribuer ainsi à un bonheur et une satisfaction plus durables.
Pour ma part, ce moment de Flow je le ressens quand j’écris ; quand j’écoute et accompagne mes clients en coaching ; quand je fais des activités créatives et manuelles. Et aussi quand je lis le magazine Flow.
Si vous voulez en savoir plus, contactez-moi